Longtemps délaissée par le milieu universitaire et cantonné aux domaines des formations courtes de type CAP/BEP, l’apprentissage semble désormais monter en puissance le monde universitaire mais subit encore de fortes résistances dans l’enseignement supérieur.
La formation en alternance permettant à l’étudiant d’intégrer un milieu professionnel et de réaliser ses études présente un bilan tout à fait positif :
- Amélioration sans commune mesure des taux d’insertion des jeunes.
- Disparition des barrières relatives aux frais d’inscriptions puisque c’est l’entreprise qui vient financer la formation ( ce qui permet également des couts plus élevée pour mieux financer l’enseignement supérieur, une méthode pour pallier à la faiblesse des budgets qui allie justice sociale et répartition de la charge publique de manière plus efficace.)
- Mise en pratique des connaissances dans le monde de l’entreprise
- Suppression d’un grand nombre de difficultés économiques que subissent aujourd’hui les étudiants.
Pourtant notre université n’est toujours pas prête à franchir le cap, alors que l’IAE (composante de Bordeaux IV) possède déjà plusieurs formations en apprentissage à niveaux bac+5, l’université est en retard malgré sa multitude de formation y compris celles considérées comme professionnalisantes.
Au lieu de proposer des stages pas ou mal rémunérés (417 euros le mois), un salaire d’apprenti, à l’inverse d’une indemnisation pour un stage, permet de cotiser, et donc de participer à la solidarité nationale fondamentale pour la vie de notre système de protection sociale.
Mais surtout en comparaison à niveau équivalent un apprenti bénéficiera d’un minimum légal de 78% du Smic (ayant au moins 21 ans) il bénéficiera donc d’un salaire de 1090 euros. Sans commune mesure avec le statut de stagiaire.
La formation en alternance permettant à l’étudiant d’intégrer un milieu professionnel et de réaliser ses études présente un bilan tout à fait positif :
- Amélioration sans commune mesure des taux d’insertion des jeunes.
- Disparition des barrières relatives aux frais d’inscriptions puisque c’est l’entreprise qui vient financer la formation ( ce qui permet également des couts plus élevée pour mieux financer l’enseignement supérieur, une méthode pour pallier à la faiblesse des budgets qui allie justice sociale et répartition de la charge publique de manière plus efficace.)
- Mise en pratique des connaissances dans le monde de l’entreprise
- Suppression d’un grand nombre de difficultés économiques que subissent aujourd’hui les étudiants.
Pourtant notre université n’est toujours pas prête à franchir le cap, alors que l’IAE (composante de Bordeaux IV) possède déjà plusieurs formations en apprentissage à niveaux bac+5, l’université est en retard malgré sa multitude de formation y compris celles considérées comme professionnalisantes.
Au lieu de proposer des stages pas ou mal rémunérés (417 euros le mois), un salaire d’apprenti, à l’inverse d’une indemnisation pour un stage, permet de cotiser, et donc de participer à la solidarité nationale fondamentale pour la vie de notre système de protection sociale.
Mais surtout en comparaison à niveau équivalent un apprenti bénéficiera d’un minimum légal de 78% du Smic (ayant au moins 21 ans) il bénéficiera donc d’un salaire de 1090 euros. Sans commune mesure avec le statut de stagiaire.
L'équipe ULM
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